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Grâce à notre happyness manager, chez Zetruc, on tente de mettre le bonheur dans la boîte ! Et oui,nous avons décidé de nous saisir d’un sujet encore trop peu étudié dans les entreprises : le bonheur de tous !
En effet, selon une récente étude du Baromètre national du Bonheur au Travail publiée par la Fabrique Spinoza, un Français sur deux n’est pas heureux au travail. Pour se plonger complètement dans le sujet nous avons nommé Bérénice, notre « Happiness Manager » ou CHO de l’agence.
Qu’est-ce qu’un « happiness manager » :
Le poste de Happiness Officer – ou responsable du bonheur – est apparu chez Google dans la Silicon Valley au début des années 2000. A cette époque une prise de conscience s’opère dans les entreprises du numérique. Pour être productif, un bon salaire ne suffit pas. Et c’est donc presque tout naturellement que Chade-Meng Tan (ancien collaborateur de Google) imagine le post et le renomme « Jolly Good Fellow ». Savez-vous que une récente étude seulement 23 % des salariés se satisfont pleinement de leur épanouissement professionnel ? (étude du Baromètre national du Bonheur au Travail publiée par la Fabrique Spinoza). Alors pendant que ceux-ci nagent dans le bonheur au travail, les autres sont guettés par le stress, le surmenage et le burn-out…
Pourquoi nommer un happiness manager dans une PME ?
Parce qu’en plus d’être bon pour l’humeur, c’est aussi excellent pour le porte monnaie de l’entreprise. Selon des études issues de Harvard ou encore du MIT, il semblerait qu’un salarié heureux soit deux fois moins malade, six fois moins absent, ou encore neuf fois plus loyal envers son entreprise s’il s’y sent heureux. Autant de chiffres qui font donc aussi, le bonheur de nos clients !
Et oui, avoir des interlocuteurs enthousiastes et souriants, rend le travail agréable et donc assure les meilleurs résultats. Il est ainsi plus aisé de nous demander l’impossible !
Dans les secteurs de la communication et du digital, il faut savoir recruter des talents, mais aussi et surtout savoir les conserver. Or nos recrues, les Milléniales de la génération y sont particulièrement sensibles à la notion de satisfaction et de bien-être au travail.
Pour les 18-34 ans, la quête de sens, l’adaptation de l’entreprise à leur vie personnelle compte bien plus que pour leurs aînés, selon une étude de Domplus- BVA- La Tribune. Autant dire que le rôle du Happiness Manager est stratégique au sein de notre agence de communication.
Les missions de notre happiness officer
Trois grandes missions ont été identifiées :
- favoriser les échanges entre les collègues en les incitant à mieux se connaître,
- évaluer régulièrement leur niveau de bien-être à travers des échanges,
- trouver des solutions aux problèmes identifiés.
À la fois communicant, organisateur d’événement, médiateur, chercheur de solutions, notre Responsable du Bonheur sait tout faire ! Il est impossible de forcer les gens à être heureux. Cependant, il est possible de créer les conditions pour qu’ils le deviennent.
Pour elle, chaque événement a son importance, Bérénice organise par exemple :
- chaque lundi matin un petit-déjeuner avec et pour l’ensemble des collègues pour bien commencer la semaine,
- différentes sorties pour resserrer les liens telles que lazer games, bowling, afterwork,
- des séminaires (au sport d’hivers, au lac Annecy, au lac du Der, …)
- les repas de noël, et des dégustations des produits de nos clients (Maison de champagne, traiteurs, chocolatiers, …)
- des événements dans les locaux tels que des espace games,
- des sorties au sauna, à la salle de sport, …
Ces événements ne sont pas que récréatifs, ils permettent une vraie communication / cohésion entre l’équipe de direction et les salariés.
Mais elle oriente aussi les achats « conforts » comme par exemple du matériel nécessaire permettant de profiter pleinement du jardin l’été et anime la décoration des espaces de travail avec ses collègues.
Le poste concerne aussi la mise en place de nouveaux outils personnalisés selon les problématiques de chacun. Ex : aménagement d’horaires, mobilité pour permettre aux salariés de travailler à distance par du télétravail, etc. Enfin, dans certaine société il s’étend jusqu’à l’optimisation du parcours individuel au sein de l’entreprise. Exemple: organisation d’entretiens de motivation, mise à disposition de coaching personnalisé, etc.
Présentation de notre happiness officer
Diplômée de l’ESC Troyes, et titulaire d’un master de communication événementielle, Bérénice est arrivée chez Zetruc pour une mission de street marketing organisée pour Marque Avenue. Elle va ensuite s’occuper de toute la partie événementielle externe et interne de l’agence. Le poste d’Happiness Manager s’est construit dans un premier temps avec l’organisation de séminaires et de soirées internes. Une réelle mission globale s’est l’an passé mise en place avec un objectif de bonheur permanent.
Comment devenir happiness manager
Ce nouveau métier ne s’apprend pas forcément (encore) dans les écoles.
«C’est avant-tout le profil et la personnalité qui comptent pour devenir un ou une Happiness Manager » selon Julien Crozat, directeur de l’agence.
Si les entreprises françaises s’intéressent de plus en plus au bonheur au travail, ce n’est pas sans raison. Aujourd’hui, selon une étude Joblift, les start-up donnent l’exemple en publiant plus de la moitié des offres d’emplois de CHO, devant les PME (28%) et les grandes entreprises (18%).